Carte d’identité de l’huile de coco
Nom commun de l’huile végétale : Coco
Arbre producteur : Cocotier
Nom botanique : Cocos nucifera
Précision : du fait de son aspect semi-solide (lorsque conservée au frais), l’huile de coco porte également le nom de beurre ou graisse de coco. D’ailleurs, il serait plus logique de parler de « corps gras ».
Famille botanique : Arécacées ou Palmacées
Origine (pays où l’huile végétale le beurre végétal est cultivée) : Indonésie, Philippines, Inde, Brésil
Partie de la plante extraite : Pulpe fraîche (chair) de noix de coco
Précision : l’huile de coco se distingue de l’huile de coprah par le fait que cette dernière est issue de pulpe séchée.
Potentiel oxydatif : Peu sensible
Propriétés organoleptiques de l’huile de coco
Les particularités botaniques et organoleptiques sont susceptibles d’évoluer en fonction des conditions de production (pays, ensoleillement, production biologique etc.).
Couleur : Limpide, blanche
Odeur : Sucrée, exotique (odeur caractéristique du fruit)
Texture : Solide (conservée au frigo), semi-solide (à température ambiante, jusqu’à 20 à 25 degrés), liquide (conservée dans un lieu au-delà de 25 degrés)
Goût : Fruité, caractéristique de la noix de coco
Il convient de différencier l’huile de coco extra-vierge (issue de la chair fraiche de la noix de coco) et l’huile de coprah (issue de l’albumen séché). L’huile de coprah est souvent utilisée en savonnerie. Par ailleurs, cette dernière est souvent raffinée, blanchie et désodorisée et ne possède ni le goût ni l’odeur spécifiques de la noix de coco. Vérifier néanmoins que l’huile de coco n’est pas également désodorisée (par un procédé doux, sans solvant).
Composition de l’huile de coco
La composition de l’huile végétale est fortement influencée par les conditions de production. Pour s’assurer de sa qualité, il est recommandé de sélectionner une huile vierge extra, obtenue par pression à froid, idéalement d’origine biologique.
Pour en savoir plus sur les qualités nutritionnelles (types de vitamines, notion d’acides gras insaturés, saturés et trans) jeter un coup d’œil sur les caractéristique du VCO-L
Composition en acides gras
AG mono insaturés : 5 à 8% d’acide oléique (oméga 9)
AG poly insaturés : 1 à 3% d’acide linoléique (oméga 6); jusqu’à 0,2% d’acide alpha linolénique (oméga 3)
AG saturés : 40 à 50 % acide laurique, 16 à 20 % acide myristique, 6 à 8 % acide palmitique, 6 % acide caprique, 5 % acide caprylique.
Autres constituants actifs
Vitamines : E et occasionnellement provitamine A, B3, B5, B6
Autres constituants : Insaponifiables (phytosterols)
Modes d’utilisation de l’huile de coco
Application cutanée
à savoir que VCO-L DXN contient aussi les extraits du Ganodorma communément connais par le Roi des plantes
Onction, massage, application locale, bain.
Association possible avec les huiles essentielles.
Utilisation nutritionnelle
Par voie orale
A noter : la macération de fleurs de tiaré dans l’huile de coco permet de réaliser le fameux monoï, si prisé des femmes Polynésiennes pour son action nourrissante et apaisante sur la peau, mais aussi pour son action réparatrice sur les cheveux. Le tiaré contient du salicylate de méthyl, c’est notamment à cette molécule que l’on doit les propriétés apaisantes du monoï.
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